Des entreprises commencent à implanter des puces sous la peau des employés

Des sociétés développent déjà des technologies qui vont aller au-delà des gadgets portables déjà familiers; par exemple, un tatouage numérique qui peut être incrusté sur la peau et qui peut surveiller les fonctions du corps.

Il est certes facile d’imaginer que, dans quelques années, il y aura des progrès spectaculaires en ce qui concerne ce que ce type de technologie peut faire. Et puisque les différents types d’amélioration du corps – les membres bioniques, les pacemakers et la chirurgie esthétique – sont déjà monnaie courante, il va de soi que beaucoup de gens auront peu, voire aucun scrupule au sujet des implants et d’autres technologies de bio-hacking.

D’un autre côté, l’idée d’une autorité centrale ayant l’avantage des connexions et de l’accès direct au corps physique de l’individu avec le potentiel de surveiller la position GPS, le rythme cardiaque, voire les ondes cérébrales, est effrayant à envisager.

La plupart d’entre nous ont adopté les avancées technologiques révolutionnaires de ces dernières décennies. Nous sommes plus connectés que jamais auparavant, et même si nous ne sommes pas tous d’accord que ce soit nécessairement une bonne chose, très peu d’entre nous ne donneraient volontiers nos smartphones à ce stade.

Mais peut-être que nous devrions être extrêmement prudents au sujet de faire le saut vers l’état de cyborg. Est-ce vraiment un progrès technique inévitable et potentiellement utile ou est-ce que ça va un peu trop loin?

C’est le moment d’en débattre, parce que la technologie est déjà entrée dans le grand public. Et comme avec la plupart des révolutions technologiques, une fois qu’elle est arrivée il y a peu d’espoir de retour en arrière.

la suite page suivant

Laisser un commentaire